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Compte rendu du groupe de travail du 26 septembre 2014

jeudi 2 octobre 2014

Tout d’abord le SNUipp a dénoncé l’affectation d’une collègue sur un poste de CLIS à St Gilles devenu vacant alors que cette enseignante était déjà en poste. Ce petit arrangement de circonstance n’est pas acceptable et cela aurait dû nécessiter un appel à candidature. Nous avons fait la même demande pour le poste de maître E (toujours à St Gilles) qui est encore vacant. Pour le SNUipp-FSU il est urgent de nommer un enseignant sur ce type de poste et nous avons indiqué que l’appel aurait déjà dû être lancé.

Rattrapage du pont de l’Ascension :

Les jours ont été fixés par Mme le Recteur aux 6 et 13 mai après-midi.

Les écoles ne travaillant que le vendredi matin ne rattraperont bien entendu qu’une demi journée à savoir le 13 mai.

Réunions d’informations syndicales

Concernant les RIS, l’administration a bien entendu indiqué que chaque enseignant pouvait participer à 3 RIS dans l’année dont une sur temps devant élève et a été très surpris d’apprendre que des IEN avaient indiqué le contraire lors de la réunion de rentrée avec les directeurs.

En l’absence de retour des IEN et de l’IA à nos propositions de RIS, nous avons donc indiqué que nous considérions ces dates comme acceptées.

M.Wagner (secrétaire général de l’ia) a indiqué que pour permettre aux enseignants des classes uniques et des petites écoles de participer aux RIS, un remplaçant serait nommé en cas de classe unique ou école à 2 classes.

Ensuite suivant les disponibilités, pour les écoles de 4 à 8 classes un remplaçant serait nommé, et pour une école à plus de 8 classes, 2 remplaçants. Il a précisé que tous les élèves devaient être accueillis.

1/2 journée banalisée

Concernant la demi journée banalisée du 7 octobre, le SNUipp a indiqué que cette date avait été très mal choisie car certaines écoles ne travaillent pas ou ont un horaire réduit. Dans de nombreux départements, le choix du mercredi matin a évité ce problème. Nous avons dit que décidément Madame le Recteur faisait de bien mauvais choix pour l’académie. Nous avons indiqué notre inquiétude quant à ses capacités à comprendre et intégrer les réalités de la profession.

Cette date ne pouvant apparemment pas être modifiée, le SNUipp-FSU, après avoir rappelé être favorable à ce type de consultations, a proposé que les collègues qui souhaiteraient participer (sur la base du volontariat) puissent récupérer ces heures sur le temps de conseil des maîtres ou d’animations pédagogiques (au choix des enseignants) comme cela se fait pour les projets d’école.

10 minutes en maternelle

Monsieur l’Inspecteur d’Académie nous a rejoint, à la demande des délégués du personnel, pour aborder la question des 10 minutes avant la sortie des classes en maternelle (sujet qu’il avait lui même proposé en marge du dernier CTSD). Il a tout d’abord rappelé que le temps scolaire en maternelle ne pouvait pas être réduit, ce que personne ne demandait. Nous avons fait valoir que la sortie des élèves en maternelle revêt un caractère particulier : les élèves doivent être remis à leurs parents et il est impossible de remettre entre 25 et 30 élèves (voire plus parfois !!!) à autant de parents à l’heure de la sortie des classes dans de bonnes conditions si l’on ne prend pas le temps de l’échange avec la famille. Nous avons plaidé pour une prise en compte des réalités et le DASEN nous a indiqué qu’il n’y aurait pas de circulaire en la matière. Si l’heure de sortie reste bien 11h30 (cet horaire peut être différent selon les écoles), il n’est donc pas interdit à ce que les parents pénètrent dans l’école quelques minutes avant de façon à ce que la sortie effective puisse avoir lieu à l’heure dans de bonnes conditions. Reste la question de la responsabilité de l’enseignant et du directeur si un élève sort avant l’heure de sortie légale (cette question a été élargie à l’élémentaire quand un parent vient chercher son enfant) et le DASEN s’est engagé à approfondir le sujet avec les services juridiques de façon à que les professionnels que nous sommes ne puissent pas être tenus responsables d’un accident en dehors de l’école mais pendant le temps scolaire.

Pour conclure il nous a été fait un point sur les difficultés liées au transport et à des informations contradictoires pendant les journées à fortes précipitations. Un dysfonctionnement avec la préfecture concernant la prise de décision doit être prochainement travaillé de façon à remédier aux erreurs d’informations.

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